Fin de vie

Autrefois, accompagner une personne lors de son AGONIE était une chose naturelle, acceptable et acceptée.

 

Les choses ne sont plus ainsi, notre culture rejette la mort, ne veut plus la voir, ne veut plus la prendre en compte et donc la plupart des soignants se trouvent désemparés lorsqu’ils y sont confrontés.

 

La personne qui va mourir le sait et,  dans la grande majorité des cas, l'accepte. Dès lors, son rapport au monde change : absence de peur dans la plupart des cas / arrêt des mécanismes de défense physiologiques ET psychologiques.

 

 

Il est donc important que le soignant :

  1. comprenne ce changement et soit en mesure de l’accompagner
  2. dispose d’outils pour aider les familles… avant, pendant et après.